Salon Moto Légende 2019

Salut à vous

Voici le reportage sur le Salon Moto Légende 2019, Le rendez-vous incontournable pour les amateurs de motos de caractère et ils ne s'y sont pas trompés car ils ont été 30 000 visiteurs à arpenter les allées de celui-ci !

Il faut dire que cette année, il y avait des expositions à couper le souffle, comme celle dédiée à la Honda CB750, avec la présence de tous les modèles commercialisés entre 1969 et 1979 en France.

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On retrouve : la K0 de 1969. Reconnaissable à ses carburateurs commandés par quatre câbles indépendants, puissance de 67 ch, la K1 de 1970 : Avec les caches latéraux arrondis arborant un sigle "750 Four", la K2 de 1972 : Avec les pattes de phare qui deviennent chromées, la puissance descend à 65 ch, la K6 de 1975 : Toujours dans la lignée de l'originale de 1969 mais puissance encore en baisse : 63 ch pour information les modèles K3, K4 et K5 : modifications mineures, non importées en France.

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On continue avec la F1 de 1975 qui est une refonte importante de la CB avec un échappement 4 en 1. Le frein arrière à tambour est remplacé par un disque de 267 mm de diamètre, pincé par un étrier monopiston. Les pistons et les arbres à cames sont remplacés, la puissance revient à celle d'origine soit 67 ch à 9 000 tr/min. Le couple est lui aussi amélioré, il atteint 6,4 mkg. La K7 de 1977: la remplaçante de la K6, Quatre échappements d'un nouveau modèle, Puissance de 67 ch. La F2 de 1977 la remplaçante de la F1, Le moteur devient noir, la puissance grimpe à 73 ch grâce à un arbre à cames plus pointu et de plus grosses soupapes, les roues sont à branches et le frein à disque avant devient double, mais perd 25 mm de diamètre.

N'oublions pas aussi la presence Team-RCB - RacingCaillou-Bedier et leur 750 de Legende.

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De toutes les expositions la seconde qui nous a marqué est celle du "Motobécane Club de France" qui nous a proposé une belle exposition dédiée à la Mobylette sous la forme d'une rétrospective qui fête les 70 ans de la Mobylette.

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Ce salon vous sera raconté dans beaucoup de magazines, mais chez Sport Moteur International ce salon se raconte autrement car Le Taz arpente celui-ci depuis des lustres, pour pas mal d'autre support à lire ici et là, mais pour Sportmoteur.com qui est né fin 2015 ça a été son premiers salon officiel, sur ce salon Bruno Laurent a signé ces premières photos pour le magazine. Que de chemins parcourus en 4 saisons, on n'y reviendra plus loin dans notre article.

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D'abord retrouvons l'intervention de Jean-Marc que vous aviez découvert lors de Rétromobile 2019 :

HEU-REUX ! ... C’était une première pour moi, cela faisait longtemps que, pour une raison ou une autre, je ne pouvais me rendre au salon Moto Légende. Heureusement pour moi, mon ami Le Taz a su y remédier, (sous la menace d'un corse, on ne peut rien refuser) … Merci à lui, car j’en suis ressorti heureux. Vraiment ! En effet, quel plaisir de découvrir un salon où j’ai eu l’impression d’avoir des potes dans chaque stand, moi qui ne connais pas grand monde dans le milieu de la moto. Que d’échanges intéressants avec ces passionné(e)s, dont certains m’ont fait découvrir des motos inconnues, que d’histoires racontées par ces motard(e)s qui vivent une vraie passion et se plaisent à la faire partager ! Même si je pratique depuis longtemps, je me suis parfois senti tout petit en écoutant les récits, voire les exploits de ces motard(e)s. J’ai aimé ce mélange de motos anciennes, voire très anciennes, avec celles d’aujourd’hui. Et quel plaisir de voir se côtoyer des Solex, des mobs (magnifique expo renvoyant beaucoup d’entre nous vers d’aussi magnifiques souvenirs d’ados…), des petits comme des gros cubes, qui nous ont fait rêver il y a bien longtemps, de splendides motos de GP, sans oublier cette incroyable Boss Hoss et son énorme V8, j'ai vu Le Taz la conduire en ville, venir au travail avec, faire la traversée de Paris, mais lorsque qu'on la voit on se demande toujours si on peut vraiment la conduire ... En tant que fan, comme beaucoup de motards cinquantenaires, de la Honda CB750 four, j’ai été émerveillé par le stand qui lui rendait hommage pour ses 50 ans. Une débauche de modèles, tous plus beaux les uns que les autres, et qui, je l’ai constaté en regardant autour de moi, faisaient briller les yeux de beaucoup d’entre nous, même des plus jeunes. Quant aux stands de pièces détachées, même un ignare en mécanique comme moi y a trouvé son compte, à écouter les échanges entre vrais connaisseurs (et authentiques mécanos), à la recherche de la pièce qui fera revivre leur bécane ou qui permettra de l’améliorer. Ce savant mélange de 2 roues, ces stands presque tous accessibles, où l’on peut toucher, questionner, échanger, font que l’on se sent chez soiet entre amis, et ça fait du bien. .       Bref, j’ai vraiment aimé ce salon à taille humaine où il faisait bon passer d’un stand à l’autre, et surtout rempli de motard(e)s qui ne sont pas là pour la frime mais pour vivre et faire partager leur passion. Merci à eux tous(tes) et merci au Taz pour cette belle journée. Maintenant je sais que j’y retournerai en 2020 avec Le Taz dans un de ces "One Shot" avec Sportmoteur.com."

Merci Jean-Marc

En dehors de retrouver les potes, des constructeurs, des pilotes et des auteurs de légende, ce salon a été pour moi celui où j'ai fait la paix avec moi-même où j'ai eu le grand plaisir de parler avec le président du Club 11R pour qui j'ai un grand respect ainsi que pour son club. J'ai aussi mis en place l'essai d'une Yamaha en février 2020 avec monsieur Eric de Seyne. La liste serait trop longue, nous avons retrouvé nos potes des Motors and Soul et parlé de notre balade du 19 janvier 2020, qui se fera surement avec une Caballero Fantic 500 Trail, mise à disposition par Olivier Moussard.

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Je vais aussi vous parler du livre de Jacques Busillet "UN CIRCUIT DANS SA VILLE". Si vous avez un livre à mettre sous le sapin c'est celui-ci. Jacques revient sur 23 ans de courses de motos sur le circuit des Vennes à Bourg-en-Bresse, de 1953 à 1975.

En 1953, à l’initiative de son jeune président Maurice Violland, l’UMA a organisé des courses de vitesse en ville, entre les casernes et la maternité. L’année suivante, ces courses se sont déroulées dans le quartier des Vennes, sur un circuit longeant l’aérodrome et traversant la forêt de Seillon. Les courses aux Vennes ont été organisées sans interruption de 1954 à 1975, attirant un public nombreux venant admirer les plus grands champions français et étrangers du moment. La fin du circuit des Vennes n’a pas marqué la fin des activités du club, au contraire, il est toujours aussi actif, continuant à organiser des rallyes, des courses de côte, évoluant avec le temps et les disciplines nouvelles, comme le Supermotard à Ainterexpo ou les quads à Pont-de-Vaux.

Ce livre se trouve dans toutes les bonnes crémeries et sur le net alors …. Moi je l'ai dévoré avec un grand plaisir passionnel.

J'ai aussi rencontré mon pote Frank Margerin, qui nous annonce la sortie prochaine du dernier volet de "Je veux une harley" et pour les fans de Lucien un album de mini histoires du célèbre personnage deFrank en 2020.

Revenons à Sportmoteur.com, comme annoncé précédemment j'arrête l'aventure du magazine en mars 2020, du moins dans le format que vous connaissez actuellement, je ne ferai que des "One Shot" à partir de cette date, je ne serai plus sur les circuits ni au GP de France et autres, je vais faire des articles sur des LEGO®, qui marchent pas mal, sur des salons que j'affectionne énormément comme Salon Moto Légende. Alors oui je serais là en 2020.

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Donc cette année les photos de Bruno Laurent auront deux signatures : Sportmoteur.com et Sport Méca Photo. Je m'explique : après plus de 4 ans de collaboration, j'ai encouragé Bruno à voler de ses propres ailes et créer sa structure. Nous collaborerons encore ensemble pour la dernière fois sur les Rétromobile 2020.

Pour clore ce reportage vivement les salons 2020 ainsi que le mois de mars où je vous prépare un article vous expliquant mon prochain défi.

Crédit Photos : Bruno Laurent, Claude Saint Leger & Bruno pasqualaggi (Retouches photos et mise en page Bruno Pasqualaggi)